Espace aérien trop étroit pour le F-35: Histoire d’un scandale qui n’en est pas un

Le F-35 belge évoluera dans l’espace aérien belge mais aussi à l’étranger (crédit-photo Y. Gauthier/BE Force Aérienne)

Espace aérien trop étroit pour le F-35: Histoire d’un scandale qui n’en est pas un.

Depuis 2018 et le choix de la Belgique de se doter de F-35 pour remplacer ses F-16 au détriment du Rafale, les passes d’armes à distance continuent entre la Belgique et la France parfois de façon ridicule. Dernier en date: l’espace aérien de la Belgique qui est trop petit pour l’entraînement de ses pilotes de F-35. Tout est parti de questions de députés concernant le F-35, l’espace aérien, les nuisances sonores, la livraison lors de la commission de la Défense nationale du 22 octobre. Le ministre Theo Francken a répondu qu’effectivement l’espace aérien serait trop petit pour absorber l’ensemble des activités de formation et qu’une partie devrait être réalisée à l’étranger. « La Belgique négocie des accords de coopération avec l’Italie et d’autres partenaires, selon différents modèles de gestion flexible et modulaire de l’espace aérien. La Mer du Nord offre des possibilités d’entraînement supplémentaires mais elles sont limitées et exigent une coopération étroite avec les autres usagers civils et militaires de l’espace aérien. Ces zones ne peuvent donc pas couvrir tous les besoins mais constituent un complément précieux », a-t-il précisé. Ces déclarations ont immédiatement enflammé le web avec une réaction en chaîne que n’aurait pu imaginer le ministre, les informations distillées lors des commissions de Défense étant généralement peu reprises dans les médias généralistes en Belgique.

La sortie du ministre Theo Francken a d’abord fait les gros titres en Belgique avant de se répandre comme une traînée de poudre dans les médias généralistes en France pourtant en général peu intéressés par les questions de Défense belge. « La Belgique a acheté une trentaine de chasseurs F-35, mais ne pourra pas les faire voler à cause de son espace aérien trop petit » (La Dépêche); « Fiasco à 5,6 milliards d’euros : la Belgique ne peut pas utiliser ses chasseurs F-35 » (Capital); « La Belgique se dote de F-35 tout neufs… mais son espace aérien ne permet pas l’entraînement des pilotes » (TF1)…voici un florilège des titres. Même des sites plus sérieux, on reprit l’information comme si c’était la révélation d’un nouveau déboire du F-35 en Belgique.

La réalité, c’est que le problème n’est pas nouveau pour la Force Aérienne, la superficie de la Belgique étant la même que ce soit pour le F-35 ou pour le F-16. D’ailleurs, ces mêmes articles le reconnaissent bien eux-mêmes mais qu’importe l’histoire d’une bonne blague belge est bien plus alléchante. Le problème n’est donc pas apparu le jour de la livraison. Il était connu depuis longtemps. C’est la raison pour laquelle la Belgique avait rejoint le NATO Flight Training Europe (NFTE) en février 2021. « Compte tenu de la complexité de la formation de pilote militaire, du défi des petits nombres, en particulier pour notre pays, et de la forte dépendance à l’égard de la coopération internationale pour l’entraînement avancé en vol, la Belgique ne souhaite pas être absente des tentatives visant à créer des synergies dans ces capacités. Cette initiative s’inscrit principalement dans le suivi des possibilités futures de formation avancée des pilotes de chasse, d’hélicoptères et de transport », avait expliqué l’ancienne ministre Ludivine Dedonder. Et qu’importe si ce sont des avions américains, les F-16 belges s’entraînent déjà également en France. Et cela existe depuis bien longtemps à une époque où la Force Aérienne utilisait des avions français.

Des F-16 belges sur la base aérienne de Solenzara en Corse en France(crédit-photo IPR 2 Wing)

Les exemples sont nombreux. En 2019, cinq F-16 du 2 Wing étaient déployés en Corse pour s’entraîner au combat aérien rapproché. « La météo clémente ainsi les zones d’exercices se trouvant au-dessus de la mer, permettent aux pilotes de combattre jusqu’à une altitude de 5.000 pieds, bien plus bas que les 10.000 pieds imposés en Belgique pour ce genre de manœuvre », expliquait la Composante Air à l’époque. En 2021, ce sont 12 F-16 belges qui ont passé trois semaines sur la base de Landivisiau en Bretagne notamment pour s’entraîner à des vols de nuit. Pas plus loin qu’en mai dernier, un F-16 belge se trouvait dans l’espace aérien dans le nord de la France pour un exercice avec un A330 MRTT français. L’Armée de l’Air et de l’Espace française avait expliqué à la Voix du Nord qu’il s’agissait d’une mission courante dans cette zone frontalière dans le cadre de la coopération franco-belge. « Ces missions permettent de qualifier et entraîner les équipages au ravitaillement en vol de nuit, mission particulièrement exigeante« , avait expliqué le service de communication de l’Armée de l’Air  et de l’Espace. Les F-16 belges ont aussi l’habitude de s’entraîner au Portugal par exemple.

Des F-35 néerlandais en partance pour un entraînement aux USA afin de profiter d’un espace aérien plus grand (crédit-photo NL Defensie)

La question de l’espace aérien se pose aussi pour les Pays-Bas. Actuellement, une douzaine de F-35 néerlandais se trouvent aux Etats-Unis sur la base aérienne de Mountain Home dans l’Idaho pour un exercice d’entrainement de trois semaines. Ils sont accompagnés de quatre A330 MRTT de la flotte multinationale MRTT de l’OTAN. « Les entraînements se déroulent régulièrement aux États-Unis, car les possibilités de s’exercer au déploiement d’armes sont limitées aux Pays-Bas. La base aérienne de Mountain Home offre davantage d’opportunités à cet égard. De plus, son espace aérien est plus vaste », a indiqué la Défense néerlandaise. En mai 2023, les F-35 néerlandais se sont entraînés en Scandinavie aux côtés de F-35 norvégiens ce qui leur a permis de partager des données et leur expérience. Sur son site officiel, la Défense néerlandaise explique que ses avions de chasse participent régulièrement à des exercices de grande envergure à l’étranger en Europe, au Canada et aux États-Unis. « Lors des exercices au Canada et aux États-Unis, les pilotes ont souvent l’occasion de voler avec moins de restrictions qu’en Europe occidentale », indique-t-elle. « Toutefois, il n’est pas possible de dispenser l’intégralité de la formation à l’étranger. Par exemple, les pilotes doivent s’entraîner aux côtés d’unités terrestres, telles que la 11e brigade aéroportée. De plus, ils doivent être familiarisés avec le survol du territoire national au cas où un déploiement aux Pays-Bas s’avérerait nécessaire », précise-t-elle. La Belgique ne fait donc pas exception loin de là.

On pourrait rajouter que l’étroitesse du territoire belge concerne toutes les forces de la Défense. La Brigade Motorisée s’entraîne annuellement à Bergen en Allemagne ce qui lui offre des conditions d’entraînement interarmes grandeur nature qu’elle n’a pas en Belgique comme elle le répète à chaque fois. C’est la raison pour laquelle, les unités de la Force Terrestre s’entraînent souvent en terrain civil, beaucoup plus que ses voisins français, car elle a moins de camps et que leur taille est limitée. Il en est de même pour la Marine belge qui participe à des exercices à l’étranger. Faute de navires suffisants, elle a besoin de coopération avec ses voisins comme la France ou les Pays-Bas pour la formation de ses recrues.

Il n’y a donc rien d’exceptionnel. Mais comme cela a été le cas pour le Pandur, la presse a préféré choisir la voie du sensationnalisme avec l’idée alléchante d’un nouveau scandale au sein de la Défense montrant une fois de plus sa méconnaissance du monde de la Défense. Si on ajoute en plus le facteur F-35, cela avait également tout pour plaire en France. Les polémiques continuent de s’alimenter des deux côtés alors qu’il est désormais clair que la Belgique utilisera le F-35 et qu’elle ne fera pas machine arrière, le programme étant désormais beaucoup trop avancé. Il serait temps de penser à l’après d’autant plus que le F-35 sera l’appareil principal des forces aériennes européennes dans les années à venir. Il y a beaucoup d’autres choses plus sérieuses à critiquer sur l’appareil qu’un simple espace aérien qui serait trop petit. Sur le terrain, la coopération militaire entre la France et la Belgique se poursuit dans tous les domaines loin des considérations politiques.

15 commentaires

  1. Les critiques, moqueries et sarcasmes proviennent principalement de la France, visiblement contrariée que ses « Rafale » n’aient pas été retenus par notre pays. Une frustration mal placée : il n’y a pas si longtemps, certains réclamaient de manière outrancière : « I want my Statue of Liberty back ». Jusqu’où les politiciens français frustrés iront-ils dans leur orgueil, au point d’évoquer le retour de la Statue de la Liberté aux États-Unis ? Sans oublier leurs généraux qui ne jurent que par leurs « Rafale », désormais dépassés d’une génération, et qui rêvent de diriger une hypothétique armée européenne. Espérons que cela n’arrivera pas ! Cela devient embarrassant pour les Français avec leurs fameux « Rafale », présentés comme les meilleurs avions du monde. Pourtant, l’armée pakistanaise a récemment abattu cinq avions ennemis, dont « trois Rafale » de fabrication française, lors d’une frappe de l’aviation indienne sur son territoire. Du côté indien, une source sécuritaire a reconnu des pertes militaires sous couvert d’anonymat, sans préciser le type ou le nombre exact des appareils concernés. Alors, ces Rafale ? On a beaucoup dit et écrit à ce sujet, notamment l’ancienne ministre, surnommée « La Divine de Bomber », qui proclamait haut et fort que le Rafale français était le meilleur avion de chasse, le moins cher du marché, et qu’il pourrait générer des profits considérables pour l’industrie aéronautique nationale.

    Ce fameux Rafale, souvent présenté comme une prouesse technologique et un symbole de l’excellence française, a pourtant montré ses limites lors du conflit indo-pakistanais. Les forces aériennes indiennes, qui avaient pourtant investi massivement dans cet appareil, en ont perdu trois lors d’un seul raid aérien. Cet épisode a suscité de nombreuses interrogations sur la fiabilité et la capacité opérationnelle du Rafale dans des situations de combat réel. Et pourtant, sur ce point précis, c’est silence radio. Ni les autorités françaises, ni les médias n’ont véritablement abordé cet échec, préférant mettre en avant les succès commerciaux de l’appareil.

    À titre de comparaison, les F-35 israéliens, déployés dans des missions sensibles en Iran, n’ont enregistré aucune perte, ce qui témoigne d’une supériorité opérationnelle indéniable. Ces performances soulèvent des questions légitimes sur l’efficacité réelle des appareils vantés par Ludivine dans les débats militaires internationaux. Quels sont ses critères de choix ? Pourquoi privilégier certains appareils au détriment d’autres, alors que des preuves concrètes de supériorité technologique et tactique existent ?

    Par ailleurs, certains critiques avancent que la France, qui a réintégré l’OTAN il y a peu avec l’ambition d’y imposer ses vues, semble oublier que l’espace aérien de l’OTAN est partagé entre 32 pays membres. Il est donc inexact de prétendre qu’il n’y aurait pas suffisamment d’espace d’entraînement pour les F-35. En réalité, ces entraînements ont lieu principalement aux États-Unis, où les infrastructures et les espaces aériens dédiés permettent de simuler des scénarios de combat complexes. Cette coopération internationale dans le cadre de l’OTAN illustre une stratégie globale qui dépasse les intérêts strictement nationaux.

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  2. A la base, les articles ont été sorti par la Presse BELGE.

    Se payer les medias français après coup en remettant une sempiternelle couche sur le Rafale n’y change rien.

    Le même mécanisme est arrivé sur le fiasco de la livraison des 4 premiers F-35 (en fait 3), mais là, curieusement, ça n’a pas été relevé.

    Quant aux commentaires sur le conflit indo-pakistanais et les raids F-35 sur l’Iran, la façon de présenter les choses montre à quel point certains feraient mieux de s’informer un minimum avant d’écrire n’importe quoi.

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  3. Francismachin, auriez-vous l’infinie gentillesse d’arrêter de raconter des conneries?

    Personne en France ne s’est moqué des Belges, par contre la sortie du ministre, reprise comme le témoignage d’un manque de place dans l’espace aérien belge par la presse belge, a suscité des questions effectivement.

    Toute personne un peu au fait des réalités des exercices NATO sait que ni les Belges, ni les NL, ni même les Brits ou les Français ne s’entraînent pas exclusivement sur leurs sols respectifs, et que l’encombrement des cieux européens rend les restrictions nombreuses. Mais le niveau moyen de connaissance d’un journaliste n’atteint pas ce niveau minimal.

    Vous accusez vos voisins de se payer la tête des belges à cause d’une rancœur causée par l’achat du F35 plutôt que du Rafale, je pense que vous vous trompez lourdement. La manière dont le dossier Rafale a été mené en Belgique a été très critiqué en France, et en tout état de cause, c’est du passé.

    Par contre, je constate qu’en belgique même l’achat des F35 et la rallonge récente de la commande a bcp de mal à passer quand en même temps on sucre les subsides des artistes de rues et des subsidiés multiples et variés du non-marchand, ou encore qu’on réduit (enfin) les droits au chômage éternel. Que la presse belge, autant de gauche que la presse française, prenne l’excuse de cette sortie de Francken pour en remettre un couche sur l’inadaptation du F35, tablant sur le niveau de méconnaissance du fait de Défense en Belgique, me semble être une autre explication valable.

    Enfin, je vous invite à vous renseigner sur l’opération Sindoor, qui a été une réussite indienne au plan militaire, mais un échec de communication. Les indiens avaient annoncé l’heure, les cibles, et les moyens aux Pakis en avance. Je pense que si les Israéliens avaient fait de même avec les Iraniens, ils auraient également pu perdre un F35 dans le process.

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  4. Mais quel  » CON  » ce type là ! 🧏‍♂️🤦‍♀️🤦‍♂️

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    Que n’a t’on entendu et/ou lu cette exclamation !

    Un sujet qui ne sera jamais posé au bac et qui relève pourtant d’une question fondamentale que l’on se la pose tous les jours en se traitant de ce mot qui, à la fois, veut tout dire et ne donne pourtant aucune précision sur le reproche formulé, mais qui, tout en même temps est tellement signifiant pour celui qui le prononce!!

    Il en dit souvent plus sur celui qui le clame que sur l’objet de l’anathème.

    JE reste persuadé d’être plus con que les gens qui m’entourent, mais je ne le saurai jamais vraiment. 🆗

    Quand un mec/meuf est brillant(e) ça se voit, y’a pas besoin de le dire !

    Mais ne sommes nous pas tous égaux pour les qualités intrinsèques d’une part, mais aussi face à l’environnement ou à la santé ). Mais ce n’est pas une injustice, c’est juste la réalité, pour laquelle le concept de justice n’a pas de sens.

    Mais se comparer à eux n’ amènera nulle part : l’objectif ici n’est pas d’être meilleur que le voisin, c’est d’être le meilleur qu’on puisse être soi, en tant qu’individu * 👥

    Alors bien sûr je vais m’y mettre aussi et me relever demain matin et je vais y croire.

    Et puis comme tous les jours je vais regarder les gens intelligents discuter entre eux de choses intelligentes puis retourner écrire MERDE sur internet !

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  5. La Belgique se plaint d’avoir un espace aerien trop petit pour ses F35. Ca me fait bien rire.

    Faisons une comparaison avec Israel…

    Belgique = 30.000 km2. Israel = 20.000 km2.

    Nombre d’avions de combat en israel = 300. En Belgique = 50.

    Je pense qu’il ne faut pas aller plus loin pour voir la « bêtise » des arguments sur le manque d’espace chez nous.

    Dans les années septante, on avait près de 200 avions de combat en Belgique. Ils sillonaient le pays dans tous les sens aussi bien à basse altitude qu’à haute altitude et ils étaient bien moins sophistiqués qu’aujourd’hui.

    Le souci chez nous, c’est que la Défense n’ose pas « imposer » ses zones de vol à Skeyes ni à Eurocontrol. alors qu’en fait c’est la défense du territoire qui devrait primer avant les nombreuses routes aeriennes civiles.

    A méditer…

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  6. Luc Leonard, entre les années 70 et 2025, le trafic aérien a augmenté de près de 1000% au niveau mondial, et de manière irrégulièrement repartie, càd principalement aux US et en Europe. Vos bienheureux 200 Starfigther et Mirage qui s’égayaient en liberté entre Bierset KB et la trouée de Fulda volaient dans un monde différent.

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  7. Francis Machin raconte n’importe quoi sur le conflit Indo Pakistanais et reprend la propagande chinoise sur les 3 Rafales descendus (ils ont même dit 5 à un moment)… La vérité c’est que le Rafale a extrêmement bien performé pendant ce conflit, Spectra notamment a brouillé des dizaines de missiles PL15 qui ont été retrouvés intacts au sol, à tel point que la Chine a dû accélérer le lancement du PL16.

    Par ailleurs l’Inde a accéléré les travaux en vue de la prochaine commande de Rafale.

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  8. Ce n’est pas vraiment exact de dire que cette polémique n’en n’est pas une et que l’espace aérien est le même pour chaque avion. En l’occurrence c’est faux.

    Si la Belgique avait acheté le Rafale, les pilotes Belges auraient pû s’entraîner en France et avoir ainsi accès au plus grand espace aérien d’entraînement en Europe. Donc si la Belgique avait acheté le Rafale ce sujet n’aurait pas existé.

    C’est donc bien l’une des très nombreuses aberrations de ce contrat F35, une de plus…

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    • Je ne vois pas trop ce qu’il y a de différent que ce qu’il existe déjà. Visiblement vous ne maitrisez pas le sujet. Pourquoi, les pilotes belges, qui s’entrainent déjà depuis des années en France, n’en auraient plus le droit maintenant ? Les Français interdisent à tout pays n’ayant pas de Rafale de s’entraîner chez eux ? Vous nous apprenez quelque chose. Les Français ne s’entraînent que chez eux ? De plus, les autres possibilités nombreuses d’entraînement ne manquent pas. Donc oui cette polémique n’a pas lieu d’être.
      Parlez des nuisances sonores, du prix, de la maintenance, de la dépendance américaine si vous voulez mais certainement pas de l’étroitesse de l’espace aérien.

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  9. Vers 1966/1968 des F104……..belges survolaient régulièrement en mode « basse altitude » mon école à Anzin ( France ). Nous les trouvions nettement mieux que les SMB 2 de la BA de Cambrai. Et du « son réacteur » de ces bêtes je ne vous parle pas. Bref et pour faire court, laissons les choses se tasser. Les F35 viendront, eux aussi, voler régulièrement dans l’espace aérien français.

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  10. https://www.secretdefensev2.com/post/les-f35-belges-sont-ils-cloués-au-sol

    « Encore un coup médiatique des français » …

    Retards de livraison, livraison au std minimum même pas effective, panne lors du vol d’arrivée à Florennes …

    Ici, les appareils sont cloués au sol, avec, en prime, la visite de l’Ambassadeur sur place, c’est dire la gravité de la situation. 40 ans à cette cadence là, ça va devenir divertissant.

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