L’amiral Tanguy Botman prend la tête de la Composante Marine.
L’amiral Tanguy Botman a pris la tête de la Composante Marine lors d’une cérémonie au port d’Ostende. Entré à l’ERM en 1986, il a commandé par le passé le chasseur de mines Lobelia (2004-2005) mais aussi la frégate Léopold Ier (2013-2015). En avril 2015, il a rejoint l’équipe Governance and Policy Support (GPS) au sein de l’état-major de la Défense dans le cadre de l’élaboration de la Vision stratégique de 2016. Il avait la charge des questions liées à la Marine, à la Médecine et au développement des compétences. En août 2017, il est devenu directeur des opérations de la Marine jusqu’en 2019. Durant un an, il a été directeur de l’état-major de la politique de la Marine à Bruxelles, avec la responsabilité du développement à long terme de la Marine. Depuis septembre 2020, il était chef d’état-major de la Marine. Entre mars et juillet 2022, l’amiral Tanguy Botman a également commandé l’opération Agenor dans le détroit d’Ormuz.
En tant que nouveau commandant de la Composante Marine, l’amiral Tanguy Botman devient également le commandant en second (Deputy admiral) de l’Amirauté Benelux. Le commandement est assuré par le chef de la Marine néerlandais, le vice-amiral René Tas, qui était présent à la cérémonie.
L’amiral Tanguy Botman succède au vice-amiral Jan De Beurme qui avait pris ses fonctions en septembre 2020. Il va prendre les fonctions d’inspecteur-général de la Défense en remplacement du général Tom Wouters qui a été nommé « officier de projet pour la nouvelle structure de l’état-major de la Défense ».
Durant la cérémonie, la Marine a officiellement lancé la nouvelle unité de fusiliers marins, une renaissance de l’ancienne DIVMAR. Leur mission principale sera la protection des ports et des navires belges. En plus de cette mission, ils participeront à des modules expéditionnaires de protection des ports ainsi qu’à l’encadrement/formation au sein de la Marine. La localisation de cette nouvelle unité n’est pas encore connue même si le nom de Charleroi est évoqué avec insistance.
À l'Avant-Garde 
Cf ma marotte au long cours….. Il est bien trop avancé dans la carrière pour exercer le commandement d’une hypothétique 3ème ASWF Belge. Toutefois, il se dit que son grand ainé, un marin, aurait une inclinaison ( love affair ?) pour une charmante Luxembourgeoise passionnée des choses et des Stratégies Maritimes. Alors ? Bon dimanche…….
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Une unité maritime basée à Charleroi. Mais quelle bonne idée, par temps clair on y voit les falaises de Douvre.
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N’oubliez pas que l’Armée Belge a de gros problèmes de recrutement.
Par nature, tous les bateaux et hélicos s’y rapportant sont déjà basés à la Côte Belge. Comment allez-vous intéresser les Francophones si vous ne dispersez pas un minimum les unités navales ?
Idem pour le bataillon qui recevra les CAESAr, basé près d’Anvers. Bonne chance pour accrocher le type qui viendra d’Arlon. Un esprit « malveillant » pourrait y voir plus qu’un hasard.
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Braschaat était le dernier bastion de l’artillerie qui restait, pas choquant que l’on y recompose l’artillerie. Et puis, l’école d’infanterie est bien à Arlon…
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A ceci près qu’Arlon est une école et que les néerlandophones qui y passent n’ont pa vocation à y rester.
Pour Braschaat, c’est un peu différent. Ca sera la seule unité CAESAr de l’Armée Belge. Alors que les Griffon Mepac seront répartis dans chaque bataillon CaMo et qu’on créera un bataillon néerlandophone sur Jaguar pour contrebalancer le 1/3 L.
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Chers lecteurs sourions encore et toujours…… Avant de se poser la légitime question du : Où mettre les unités et matériels citées par Knut&Jerry, activons d’abord le « bouton » du comment obtenir, et en « disruptivité » (c’est « La » nouvelle expression « in » de cet été 2023), de solides budgets afin d’étoffer les forces armées du BENELUX ( Dans mon esprit, c’est d’abord et au moins pour la partie Belgo-Luxembourgeoise qu’il faut s »activer). Sur ce, une bonne et créatrice journée à vous .
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Plus de 20 Mrd € ont été alloués via deux plans de revalorisation.
Vous voulez plus de bateaux, plus d’avions … ?
Avec quel personnel comptez-vous les servir ?
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Cher Jerry, ne vous en déplaise, là vous me semblez baisser les bras….. Aujourd’hui compte tenu du contexte international ( Ukraine ), si on néglige ou limite trop un effort pour remettre sur pied des forces armées plus significatives et réellement dignes d’avoir un influence remarquée au sein d’une coalition type Otan, et bien je peux vous le dire ici : On ne le fera jamais. Plus d’effectifs dans les trois forces c’est possible. Les forces Belgo/Luxembourgeoises nettement mieux et plus vite associées peuvent reprendre de l’épaisseur et plus de valeur militaire sans pour autant revenir en nombre à ce qu’elles étaient à l’époque de la chute du mur de Berlin. Pour les RH (Source Wikipédia) : En 1990, l’ensemble Belgique 9,9 millions d’habitants + Lux 381.850 d’habitants totalise une population 10,281 millions. En 2023, ce même ensemble Belgique 11,697 millions d’habitants + Lux 662.809 d’habitants totalise une population de 12,359 millions. A mon humble avis dans l’ensemble 2023, il y a moyen de trouver des personnes qui sont à la base déjà bien formés et qui seraient aptes à venir intégrer et servir des forces armées renouvelées et modernisées. Toutefois et sait-on jamais …….. J’accepte l’idée d’être trop optimiste ou encore celle de me tromper. Mais cela serait vraiment dommage.
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Parlons franchement, parce que cette question s’est posée dans les états majors: sur cette croissance de population, combien d’extraction et combien de régularisation et de naturalisation ? Cette population jeune en âge de porter les armes, est-on certain de vouloir la former à l’utilisation d’armes de guerre? Je me rappelle de la réflexion d’officiers français à qui on expliquait que les sous officiers miliciens belges recevaient une formation au plasticage de buildings. Vous osez leur enseigner ça???
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C’est la grande mode depuis quelques mois sur les réseaux sociaux, idéaliser un engagement, mais pour les autres. Avec en retour de boomerang, les chiffres de l’attrition à 3 et 6 mois.
C’est très souvent moins reluisante qu’un spot télé ou qu’une brochure d’information reçue dans une grande surface.
Quand il s’agit de s’engager personnellement, c’est tout de suite plus flottant.
Les chiffres des recrutements et de l’attrition sont ce qu’ils sont (cf Plan STAR, lisez le, c’est très instructif), même les USA ont des problèmes de recrutement pour certains types de métiers.
La doctrine belge du moment est de gratter tout ce qu’on peut (limite de diplôme minimum supprimée, recrutement massif de « Rosetta », tout est bon pour tenir les chiffres et présenter des effectifs en hausse, en vain.
Sinon, on pourra toujours « outsourcer » (terme à la mode, ça permettra de masquer les pénuries). C’est valable pour la garde de certains quartiers (interdit de rire). Du même tonneau, former un « bataillon binational » (en fait composé d’unités déjà existantes qu’on va déforcer).
Voyez ce que la Composante Terre a acheté comme véhicules ces derniers temps, et avec d’autres commandes en tête, avec quel personnel comptez-vous remplir ces véhicules ?
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Cher Jerry en Belgique comme ailleurs, il serait temps « de se poser » et de faire Démocratiquement un effort d’imagination du « haut en bas » de l’échelle du peuple. Il n’y a pas que le chiffre d’affaire et des loisirs, fussent-ils élaborés, qui puissent garantir la défense de l’unité d’un pays ou encore celle d’une coalition de pays ayant des bases constitutionnelles proches. A la question du comment remplir en opérationnels un quelconque équipement militaire en Belgique comme ailleurs ? Et bien cela est faisable par le courage civique et politique et j’en conviens cela implique beaucoup de travail et de monde.
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